Qu’est-ce qui marche et quels sont les risques de l’ultraflexibilité au travail ?
✔️Permettre de travailler 1 mois par an à l’étranger
✔️La semaine de 4 jours (mercredi ou vendredi)
✔️1 seul jour en présentiel par mois (ou + mais pas obligatoire)
✔️100% télétravail…
Les entreprises passées au hashtag#flexoffice voient leurs bureaux vides quasi toute la semaine et s’interrogent : pourquoi continuer à payer un loyer ?!
Bien-être, performance, créativité, attractivité sont les motivations de ces entreprises pionnières.
Pour garder ou attirer les jeunes diplômées elles innovent pourtant sans savoir quels effets à terme ces grandes transformations vont opérer sur leur organisation.
- S’il n’y a plus de collectif comment créer de l’appartenance ?
- Comment continuer à superviser ou coacher dans un distanciel permanent ?
- Sans interaction sociale comment créer de la cohésion entre les salariés ?
- Comment se prémunir de l’isolement voire de la détresse de certains salariés ?
Si la flexibilité est avant tout une question de confiance, elle ne peut s’instaurer sans repenser, parallèlement, les interactions sociales dans le cadre professionnel.
Qu’il s’agisse des réunions virtuels comme physiques, des événements internes, des feedbacks, du day-to-day management, des espaces de coworking… ces interactions doivent désormais se penser à travers le prisme de la cohésion et du sens dans un collectif.
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